le Doubs: soutiens à Dominique Strauss-Kahn
Ils soutiennent Dominique STRAUSS-Kahn:
Pierre MOSCOVICI, Paulette GUINCHARD, Jean-Louis FOUSSERET, Claude JEANNEROT, Brigitte et Joseph PARRENIN, Paul et Odile COIZET, Denis SOMMER, Liliane et Pierre RUEFF, Daniel AIME, Marcel FERREOL, Nicole et Marc DAHAN, Jacqueline CUENOT, Jean OUBRIER, Nicole EGERMANN, Eugénie PORET, Didier SIKKINK, Philippe SINGIER, Colette ISABEY, Jean GALMICHE, Gilles SPICHER,Laurent RIVENC, Laurence et Henri DIKONGUE, Martine JEANNIN, Florence MAUBERT, Dominique PLUCHE-GALMICHE, Barbara GEORGIOU, Bernard FALGA, Stéphane DUMAIN, Omar RABEI, Anne GIRARD, Edith SPICHER, Denise MAIRE, Jacqueline et Marcel CARETTE, Jeannie CARON, Rosa HALITI, Michel LOYAT, Marie-Guitte DUFAY, Sylvie WANLIN, Fanny GERDIL, Pascal CURIE, Roland SAINTIGNAN, Jacques BERTHOD, Marguerite et André VIEILLE-MARCHISET, Martine et Lionel CORTE, Nicolas BODIN, Rose HIRSCHI, Lucienne CHABERT, Sabouha DURAKI, Iraj KESHMIRI, Françoise MUNIER, Frédéric LALLEMAND, Victor FARINHA, Mathilde MARMIER, Jean-Marie BERTHOD, Ginette BIGEARD, Jacques MONIOTTE, Anne-Marie et Carole HENRIOT, Patrick BONTEMPS, Marcel MERCERET, Renée CHAPPARD, Gérald SANTI, Denis JACQUIN, Michel BOURGEOIS, Jean-Marie DAME, Jeanine ENGEL, Jacqueline TEYSSIER, Pierre MAGNIN-FEYSOT, Mireille GELOT, Jean-Marie BART, Thierry JEANMOUGIN, Luc BEPOIX, Marcellin BARETJE, Brigitte JARDON-BAVEREL, Gilles JARDON, Eric ANGUENOT,Odile COIZET,Bernadette MONNEUR,Sylvie LONCHAMPT,Noureddine ZERHOUNI,Bernard BOURGEOIS,Liliane DANGEL, Jean-Claude,Béatrice,Audrey et Karine FALCINELLA,Joseph MAIROT,Danielle POISSENOT,Jean-Christophe TASSY, Amélie ROUSEILLE,Jean-Gérard PERNIN,Michel TACHEZ,Renée HUGUENIN,Jamal TAKADOUM,Madeleine CHALON, Pascal GODIN,Robert VERNEREY,Evelyne DARD, Guy GRILLOT,André BONVALOT,Gérard AUDOUZE,Gilles BESONHE,Jean-Paul CROISSANT,Jean-Paul GIRARD,Gilles KIESEL,Françoise SCHNEUWLY,Isabelle TRIMAILLE,Franck TRUDU,Michèle CHARLES,William NUNNINGER, Michèle PERNIN,Jacqueline LESNE,Kadir KILIC,Nathalie PONCIN,Bernard GENIN...
Nous voulons un autre monde que celui que nous laisse la droite et que nous prépare Nicolas Sarkozy. L’élection présidentielle sera le moment décisif de ce combat. Une élection dont l’enjeu est historique pour notre modèle, pour nos valeurs, pour le renouveau de la France et pour relancer l’Europe. Nous n’avons pas de droit à l’erreur. La gauche ne gagnera ni en courant après la droite ni en se subordonnant à l’extrême gauche.
Seul un socialisme moderne, audacieusement réformiste, authentiquement populaire, chaleureusement républicain et fortement réaliste, peut donner à la France le nouveau souffle auquel elle aspire.
Il ne suffira pas simplement de gagner, nous devrons durer au-delà de la victoire, ou d’une législature.
Pour cela, il faut une vision des enjeux, une compétence pour les surmonter, une créativité pour offrir un nouveau chemin.
Et pour nous c’est Dominique Strauss-Kahn.
Voilà pourquoi nous vous appelons à aider DSK dans son combat contre tous les renoncements, pour une voie socialiste dans la mondialisation.
Dans les Dernières Nouvelles d'Alsace, le résumé du meeting de DSK à Strasbourg, où 22 camarades du Doubs se sont rendus ce samedi Région - Parti socialiste / Primaires pour la présidentielle DSK a parfaitement répondu hier soir à Strasbourg à l'attente de ses partisans, à commencer par ceux qui, à la tribune, ne cessaient de hocher la tête à chacun de ses propos. Catherine Trautmann, qui ne voit « ni sinuosité, ni ambiguïté dans la proposition politique de celui qui peut replacer la France à la tête des pays européens ». Jean-Marie Bockel, pour qui ce « vrai socialiste du temps présent incarne le mieux le réformiste de gauche ». Pierre Moscovici, son « complice » de 24 ans, persuadé que grâce à la pensée « concrète, européenne, efficace » de Strauss-Kahn, « l'heure de la social-démocratie a sonné ». En interne d'abord, car il ne fait aucun doute pour les strauss-kahniens que leur champion contraindra Ségolène Royal à un second tour au soir du 16 novembre. « Voter pour moi au 1er tour, Sans citer ses adversaires, « Dominique » les envoie régulièrement dans les cordes. A sa rivale Ségolène qui d! emandait hier dans le Gard aux militants socialistes d'assurer sa victoire au 1er tour pour donner « un signal fort à la droite », DSK réplique que voter pour lui dès le 1er tour, « c'est envoyer un message fort à la gauche ». Fabius et son SMIC augmenté de 100 € tout de suite ? « Je peux vous le faire à 300 €, si vous voulez. Mais qu'on arrête de raconter des histoires aux Français. La gauche doit changer son rapport à la vérité » et tenir ses promesses, si elle veut durer une fois arrivée au pouvoir. L'engagement pour Strasbourg Partisan du oui à la Constitution européenne, Strauss-Kahn prend en compte le vote des Français pour qui le traité n'était pas un bon instrument. « Mais on aurait pu s'attendre à ce que, au cours des 17 mois écoulés, le président de la République prenne une initiative. Rien n'est venu. Il faudra donc attendre le prochain. C'est pourquoi il est indispensable d'élire un président dont l'engagement européen est constant et reconnu par ses partenaires », dit-il en envoyant une autre pierre dans le jardin de Fabius, partisan du non. « C'est parce que les Français redeviendront les meneurs du jeu européen que Strasbourg saura garder sa place. J'en prends l'engagement devant vous », a ajouté DSK, longuement applaudi. Claude Keiflin
La voie social-démocrate de Dominique Strauss-Kahn
un signal fort à la gauche »
Pour DSK président, la priorité seront les deux « questions liées de l'économie et du social. La gauche doit finir par reconnaître un jour clairement qu'on ne peut redistribuer que ce qu'on a produit ». Penser le contraire c'est « se mentir à elle-même ». Sa ligne est social-démocrate, « le social pour objectif, la démocratie pour méthode », sur le modèle de la social-démocratie en Europe du Nord qui « a démontré son efficacité parce qu'elle a permis d'établir de nouveaux ! compromis entre les forces sociales ».
Anticipant le vote des militants PS, le candidat social-démocrate a aussi ouvert la campagne contre le probable candidat de la droite : « Pour Sarkozy, la rupture ! c'est le renoncement ». Il est persuadé qu'il a plus de chance que Ségolène Royal et Laurent Fabius de l'emporter face au ministre de l'Intérieur. « Si je ne le pensais pas, je n'aurais même pas été candidat ». Il sent « les lignes bouger » à l'intérieur du PS. Suffisamment pour qu'il puisse l'emporter ? Réponse dans quelques jours.